« Située en Afrique de l’Ouest, la Guinée est connue pour son riche patrimoine culturel et ses paysages variés. En tant que bénévole, j’ai récemment participé à une mission humanitaire visant à soutenir les initiatives locales et internationales qui améliorent la qualité de vie des Guinéens.
Le but de notre mission
Notre mission humanitaire s’est principalement concentré sur l’accès à l’eau potable et à l’éducation pour les communautés isolées. Ces deux nécessités de base sont cruciales pour améliorer la vie des gens et promouvoir le développement du pays sur le long terme.
Améliorer l’accès à l’eau
Ainsi, nous avons collaboré avec des partenaires locaux pour forer des puits dans les zones rurales où l’accès à l’eau potable est limité. « A l’intérieur du pays » comme ils disent… Les forages réalisés ont eu un impact significatif sur la santé et l’hygiène des communautés. Ils ont facilité le quotidien de nombreuses femmes et enfants jusque là contraints de marcher des kilomètres pour aller chercher de l’eau. Un calvaire soulagé par les actions concrètes de cette mission.
Une meilleure éducation
En plus de l’eau, nous avons également permis d’améliorer l’éducation des enfants vivant dans des régions isolées. Nous avons soutenu la construction d’écoles et fourni du matériel pédagogique (ordinateurs, livres, fournitures scolaires) aux élèves. Un moyen efficace pour améliorer le taux d’alphabétisation.
Les communautés locales ont accueilli nos efforts avec beaucoup d’enthousiasme et de gratitude. C’était encourageant de constater l’impact positif que nous avons pu avoir en si peu de temps. C’était très touchant pour nous qui vivons en Occident, sans nous soucier de l’accès à l’eau. Pour les autochtones c’est un changement radical de vie d’avoir de l’eau facilement. Contribuer à cela me remplit de bonheur.
Des humanitaires engagés
Toutes ces actions sont rendues possibles grâce à l’association Eau Z’enfants, basée à Paris et qui œuvre principalement en Guinée et au Togo.
A l’issue de ce voyage, j’espère que notre travail continuera à porter ses fruits. Mais, surtout, j’ai une pensée particulière à nos référents locaux – Aladji et Oussmane – sans qui, rien de tout cela ne serait possible. Les hommes de l’ombre, c’est eux. Ils se déplacent dans tout le pays pour évaluer les besoins des populations et mettent tout en oeuvre pour faciliter la vie des Guinéens.
Je suis rentrée avec des paillettes plein les yeux et le cœur plein d’amour envers ce peuple si touchant qui ne demande qu’à vivre dignement. »
Sonia Jasmine
Ambassadrice de l’association Eau Z’enfants